Publié par Sandra ALVES leur manque, et tout est dépeuplé…
Il s’agit de ma toute première victoire en référé suspension !
La Commune dispose désormais de quinze jours francs pour se pourvoir en cassation.
Je remercie Jean-Marc DEFRÉMONT pour son témoignage, que j’ai ainsi pu faire valoir devant le juge des référés.
Je n’ai pas été flamboyant, mais vu que l’avocat de la Commune a été pire que moi, j’ai dû donner l’illusion d’être presque bon. (En vrai, j’ai plutôt été mauvais. J’ai vraiment gagné par défaut.)
En réalité, la Commune a perdu parce que son dossier était vide, en tant que rien n’avait été communiqué à l’avocat, qui ne savait donc pas trop quoi défendre, de manière factuelle.
Même l’argumentation de dire que j’avais déjà déposé 50 recours depuis le début de l’année n’a pas pris ! Il faut dire qu’elle était quand même hors sujet.
Il m’a en plus suffi de répliquer, à destination de ce lâche de TEILLET, que ce n’est pas parce qu’il voulait me punir moi de « gâcher sa fête », qu’il était obligé de s’en prendre à DEFRÉMONT et compagnie ; et que les autres n’avaient donc pas à payer du petit combat égotique que mène contre moi le petit maire de Savigny. Je crois que cela a fait son petit effet !
Et puis le juge a tué le jeu en demandant à l’avocat si en neuf mois, la Commune n’avait quand même pas eu le temps de faire quelque chose. Et là, difficile de défendre pour l’avocat. Ça a vraiment été la fin !
Pourtant, cela fait des mois que je demande deux choses à TEILLET, pour son propre bien et celui de la Commune :
1°) qu’il créé des adresses aux services plutôt qu’aux personnes ;
2°) qu’il accuse réception de mes demandes !
Alors, TEILLET m’a pris de haut.
Qu’est-ce que moi, pauvre petite merde, j’avais à lui apprendre ?
Eh bien, pleine face, cher Alexis.
1°) ALVES, directrice des affaires juridiques, absente ; personne ne sait ce qu’elle a fait précisément, puisque tout est sur sa messagerie, et que rien n’a donc pu être transmis à l’avocat dans les temps.
2°) Il aurait accusé réception de ma demande que je perdais ; mais il ne l’a pas fait, alors sa fin de non-recevoir tiré de l’irrecevabilité de ma demande est rejetée.
Reste maintenant à TEILLET à appliquer la loi, s’il veut faire tomber ma requête.
Sauf s’il veut qu’on aille au fond, et que je lui redonne une autre petite fessée.
En attendant, cela va dans mon dossier pour le 18 octobre 2022 devant le Tribunal correctionnel !
παρρησία 
Si un jour ils dédaignent te remettre les clefs, vérifie immédiatement que tu puisses y accéder. Tu auras peut-être une surprise …
On avait les clefs du local, mais la seule fois où j’ai voulu y accéder, ce n’était pas les bonnes clefs. (Ensuite le CM a été dissous il n’y a donc pas eu de suite)