Les cons ! L’arrêté fixant la nouvelle composition du conseil citoyen de Grand-Vaux a été publié le 03 décembre 2020 !

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Par un courrier du 07 décembre 2020, le maire de Savigny m’écrit, sous la plume de Christelle FAURE, que l’arrêté est en cours de publication.

Par un courrier du 22 décembre 2020, le coordonnateur du conseil citoyen m’écrit que l’arrêté est en cours de publication.

Par une petite recherche, que je me suis décidé de faire ce 05 janvier 2021, j’ai découvert que l’arrêté en question avait été publié le 03 décembre 2020… CQFD


Quatre fautifs :

  • la déléguée du préfet qui ne fait pas son travail d’information,
  • le maire de Savigny-sur-Orge qui ne fait pas son travail de veille des recueils des actes administratifs de la préfecture, ni d’ailleurs son cabinet, trop occupé à mettre de l’écriture inclusive dans les publications municipales,
  • la directrice du service municipal de Politique de la Ville qui ne suit pas le dossier mais qui attend qu’on l’informe,
  • le coordonnateur du conseil citoyen qui n’est pas plus pro-actif. Est-ce une surprise ?

Comme je m’en doutais, l’arrêté me semble illégal en plusieurs points.

Je l’ai écrit au préfet, et je n’attendrai pas une réponse, qui ne viendra pas, pour déposer un recours contre cet acte dès lundi 11 janvier 2021.

De toute façon, le temps qu’il soit jugé, la requête sera devenue sans objet vu que le contrat de ville doit être renouvelé dans six mois.

J’ai retrouvé dans mes archives un courrier de janvier 2017 dans lequel je lui faisais déjà part des dysfonctionnements du conseil citoyen. Il ne m’a jamais répondu. On a vu ce que cela a donné : son arrêté annulé par le Tribunal. Que l’on continue ! Ce sont eux qui passent pour des incompétents.


Ce qui est formidable est que l’arrêté préfectoral reconduit des gens qui n’ont pas signé une seule feuille de présence depuis le début ; de celles qui m’ont été communiquées par jugement du Tribunal administratif. L’un m’ayant d’ailleurs écrit qu’il n’habitait plus le quartier…

Puis l’IFAC, déjà condamnée, qui ne devait que permettre la mise en place de la structure, qui est toujours là cinq ans après. Fera-t-elle encore le job dès lors qu’elle ne sera plus payée au moyen de la délégation de service public de l’animation des maisons de quartier ?

Enfin, le problème que le préfet ne prévoit pas expressément de renouvellement à l’achèvement du contrat de ville, à partir duquel 14 des 16 membres du collège des habitants vont partir. Or, comme il faut toujours une majorité de membres du collège Habitants. Et je ne parle pas non plus du collège des acteurs locaux qui va aussi très largement fondre.


Quels branquignols ! Je suis mort de rire. Finalement bien le seul à connaître l’historique et la loi, alors que ces mêmes autres sont payés pour cela. À suivre !







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