Publié par Alexis TEILLET aime tout dans sa fonction de maire (l’indemnité, les repas gratuits, la voiture de fonction…) ; tout à l’exception de faire fonctionner démocratiquement le Conseil municipal qui l’a élu maire.
Il n’y a qu’à voir comment il traite ses oppositions : à partir du moment où tu ne veux pas le « sucer », c’est que tu fais de l’obstruction. Il ne tolère pas la contradiction et ne supporte pas qu’on lui résiste.
C’est une vision un peu simpliste et un peu binaire, mais qui n’est guère étonnante d’un « fils à maman », qui n’a jamais eu d’autre travail que ceux que son copain REDA lui a trouvés. Il est peut être maire mais il se comporte guère plus qu’en chefaillon de majorité.
TEILLET a imposé un règlement intérieur au Conseil municipal ; au demeurant illégal, n’en déplaise à son incompétente et arrogante directrice des affaires juridiques, Sandra ALVES. La pauvre fille ne sait déjà pas computer des délais, ce qui est la base de la base, alors le reste… À jamais, c’est la meuf qui, pour me dénoncer d’une contravention, s’est auto-incriminée d’un délit…
TEILLET fait une interprétation stricte de ce règlement intérieur ; par exemple pour me censurer dans déjà 4 tribunes du bulletin municipal ; parce que l’autre incompétent d’Armand STEIGER, ancien responsable des services informatique, qui est quand même directeur général adjoint des services mais qui ne comprend rien à l’informatique, lui explique qu’à l’aide d’un logiciel de codage, on peut éditer du texte brut contenant des styles…
Ce règlement intérieur, à son article 19, impose qu’une proposition de délibération soit préalablement examinée par la commission compétente.
Dans le silence de ce texte, c’est le conseiller qui propose qui désigne la compétence de la commission. Sauf hypothèse que le maire dénie cette compétence.
La rédaction au singulier, précédée d’un déterminant défini, signifie qu’il n’y a qu’une commission compétente, et que c’est donc la plus compétente, en cas de conflit, qui doit traiter le sujet.
Et c’est là que ce petit branleur de merde de TEILLET intervient, et qu’il n’en a soudainement plus rien à foutre de son règlement intérieur !!! Finie la lecture littérale !
Alexis TEILLET, qui a séché les huit dernières commissions, parce qu’il a toujours autre chose de plus important à faire ; je ne connais pourtant pas ce qui est plus important pour un maire que le règlement des affaires de la Commune, mais bon…
Et donc TEILLET qui veut être en week-end plus vite, décide qu’on ne va pas réunir la commission compétente, mais qu’on va faire traiter mon affaire par une autre commission, parce qu’elle se réunit le même jour.
Et moi, je lui dis que non, parce que ce ne sont pas les mêmes commissaires, et donc que ma proposition n’a pas les mêmes chances devant cette autre commission.
Et j’ai attaqué sa décision au Tribunal administratif, en invoquant le texte du règlement qui parle de « la commission compétente », ainsi que quelques principes bien connus du droit administratif tels que la spécialisation et la subsidiarité.
C’est-à-écrire qu’à partir du moment où TEILLET n’a pas contesté que mon projet ne relevait pas de la commission la plus compétente, alors il est obligé de la faire traiter par celle-ci.
De fait, ce 28 avril 2023, je vais refuser que la commission de l’administration générale incompétente se prononce sur mon projet de délibération, en tant qu’il existe une commission plus compétente pour se prononcer dessus.
Et je vais rappeler Alexis TEILLET à son règlement intérieur !
Et alerte divulgachâge : je déférerai évidemment l’inéluctable rejet de mon projet par la commission incompétente, pour vice de procédure, erreur de droit et détournement de procédure !
Bien malin le juge administratif qui pourra me garantir que ma proposition de délibération n’aurait pas connu meilleur sort en étant examiné par la commission la plus compétente !
παρρησία 