Publié par J’écris cet article le dimanche 11 septembre 2022, en infraction de l’article 34 du règlement intérieur du Conseil municipal, que j’emmerde, lequel a justement été pensé pour éviter que je puisse commettre ce type de papiers et révéler qui sont les branquignols qui ont la décision.
Nous avons commission municipale le lundi 12 mais nous savons déjà ce qui va être approuvé et validé par le comité technique le jeudi 15… C’est-à-dire qu’ils ne font même pas semblants de jouer le jeu de la démocratie, par un marqueur de doute ou de subjectivation : tout est déjà écrit et connu d’avance.
De fait, je méprise peut-être les agents et j’insulte peut-être aussi les élus. Et c’est vrai que c’est scandaleux parce qu’il n’y a vraiment aucun problème et que nous tenons brillamment notre rang de 4e ville du département, grâce à toutes nos infrastructures, nos équipements, nos commerces…
Mais moi, je respecte la démocratie, et je ne me permets pas de présumer à l’avance des choix d’un organe souverain ; même si effectivement, on ne connaît que trop bien comment fonctionne ces différents comités, et qui les composent, et on n’en comprend que mieux l’état de la Ville.
Mais rappelez-vous simplement que la dernière fois que la Commune a anticipé une situation, elle ne s’est pas passée comme cela avait été annoncée, qu’ils n’ont pas corrigé la délibération, et que celle-ci a donc été entachée d’une erreur, qui n’a été qu’un argument supplémentaire pour moi pour aller au Tribunal.
À part cela, encore une preuve que TEILLET ne bosse pas, et que personne ne relit rien dans les services…
Ou alors, il ne sait pas écrire son nom de famille, ce qui est possible aussi ?
Ils continuent de se foutre de ma gueule parce que je demande l’impression des documents, mais dans leur intelligence supérieure qui leur permet de travailler sur écrans, force est de constater qu’ils passent à côté de la moitié de choses…
Parfois, j’hésite à dénoncer ce type de coquilles, qui là possède quand même son importance, pour mieux me foutre de leur gueule le jour du Conseil municipal.
Et on en arrive à des grands drames, comme avec la plaque en hommage à Daniel RIBAILLIER, qui a été inaugurée hier (oui, à Savigny, on inaugure des plaques), à laquelle je n’étais évidemment pas invité, où je me retrouve à être le méchant parce que personne ne savait écrire le nom de ce monsieur, qu’ils prétendaient tous admirer… Bigre !
παρρησία 