Publié par Qui concernerait cette fois la convention pour la mise en place d’une résidence artistique de la 56eme compagnie à Savigny-sur-Orge, après la convention de mutualisation des agents et des missions des polices municipales de Savigny et de Juvisy, voire aussi celle pour les polices de Savigny et de Viry…
Je reste donc un petit joueur puisque si, moi, je f(er)ais du délit (de presse), TEILLET, lui, f(er)ait du crime… Si je serais un délinquant, lui serait un criminel… Et donc pas qu’un peu, parce que cela commence à devenir habituel… Ce n’est que le deuxième, voire le troisième si on considère qu’il n’a rien signé le 7 juin 2022…
Bref, circuit classique :
1°) je défère la convention au Tribunal administratif de Versailles, en tant qu’elle est entachée d’une incompétence temporelle du maire de Savigny-sur-Orge ;
2°) je me constitue partie civile contre TEILLET des faits de crime de faux en écriture authentique par personne dépositaire de l’autorité publique (NATINF 11645 selon nomenclature de juillet 2022).
Au fond, je comprends mieux la réaction, au demeurant surréaliste, de TEILLET lors du conseil municipal du 23 juin 2022, pour rejeter mon amendement, lequel pourtant visait uniquement à corriger trois erreurs matérielles…
« Je vous arrête tout de suite parce que la modification des conventions n’est pas possible. Ce sont des conventions qui sont aussi prises avec la Région et la 56eme compagnie… »
Lui-même semblait d’ailleurs relativement peu assuré dans sa réponse à vouloir empêcher à tout prix la prise en compte de mon amendement.
Il suffit de réécouter les hésitations dans sa voix ! À 2 heures et 22 minutes au Conseil municipal du 23 juin. J’ai dû me le farcir pour documenter la plainte…
D’ailleurs, peut-être que c’est là que je lui avais suggéré très fort qu’il me prenait bien pour un con et que je l’envoyais se faire foutre sur sa réponse qui ne trompait que les enfants.
Effectivement, c’était déjà trop tard pour modifier quoi que ce soit, puisque la convention avait déjà été signée; le jour même, en toute illégalité puisque le maire n’était alors pas encore habilité à le faire !
Je précise encore que j’avais demandé la correction de cette convention en commission municipale, et qu’à l’accoutumée, on n’en a pas tenu compte… Donc cet amendement aurait pu être évité, et je n’aurais alors même pas demandé la communication de la convention.
Voilà, encore un mépris crasseux de l’office du Conseil municipal.
Qu’évidemment personne n’est malheureusement en capacité de comprendre, et dont au mieux, tout le monde se fout.
Je suis le salaud qui s’oppose à la culture à Savigny. Je suis le nazi qui, par son comportement, entrave la République.
Je n’ai vraiment rien d’autre à foutre de ma vie que de bloquer sur des trucs qui ne sont pas graves. Un crime, ce n’est que quand il y a du sang. Ce n’est pas ça un crime ! Enfin oui, mais non !
Peu importe que je sois le seul, et le dernier, à défendre les libertés publiques (comme avec le règlement intérieur du Conseil), ou l’égalité (comme avec les mesures réservées aux Ukrainiens)…
Sur ce, je me fous bien de votre avis et je le fais quand même, parce que non seulement, je crois en la supériorité de mes idées, mais davantage, j’ose les défendre, envers et contre tous.
La prochaine fois, TEILLET attendra d’avoir été autorisé par le Conseil municipal pour faire ; sans quoi, je ferai ce que je dois faire… C’est-à-dire ce que je fais là.
À relever au passage que TEILLET n’a jamais fait la publicité de cette convention, et qu’il a mis près de deux mois à me la communiquer ; on comprend mieux pourquoi…
παρρησία 