Publié par Oh là là, vraiment pas bien, Sandra !!!
Bon, il ne fallait s’attendre à rien de plus de l’inutile CNIL, laquelle verra de toute façon sa décision confirmée si je la conteste devant le Conseil d’État, comme il m’est déjà arrivé.
Et à mon avis, ce rappel aux obligations, et à la nécessité de respecter les règles en vigueur, qui frappe la directrice des affaires juridiques de la Commune, lui « touche un ovaire sans faire bouger l’autre », pour paraphraser Sandrine ROUSSEAU…
En tout cas, je n’ai pas reçu d’excuse de sa part ; et je ne m’attendais pas à en recevoir.
J’attends sinon toujours une date pour citer la dame à comparaître, mais quand c’est le maire, le service de l’audiencement lui en trouve une dans le trimestre ; quand c’est moi, on m’explique que les rôles d’audiences sont surchargés, et qu’on m’en donnera une dans les meilleurs délais…
Ce qui est intéressant, au-delà de la seule personne de Sandra ALVES, est que :
– d’une part, la déléguée à la protection des données personnelles, Laëtitia BETREMIEUX, n’avait rien trouvé à redire de ce comportement ;
Donc soit elle est incompétente soit elle couvre son amie, soit les deux.
– d’autre part, le maire de Savigny-sur-Orge, m’a écrit qu’il n’y avait rien d’illégal dans son comportement de divulguer des courriers professionnels en les commentant.
Et c’est intéressant qu’il la couvre présentement parce que c’est moi qui suis opposé à elle, alors qu’il l’a déjà défoncé publiquement devant d’autres de ses collègues, qui me l’ont rapporté, en disant que si elle était un peu meilleure, VAGNEUX ne pourrait pas faire autant de recours !
J’avais feu un ami évêque qui disait que les jours où les cathos voudront vraiment que les choses changent, ils noieront Rome sous les courriers.
Moi, j’aimerais bien que les Saviniens noient le maire de Savigny sous les courriers de protestation.
Malheureusement, il en reçoit 10 à tout casser, et c’est plus simple pour le classement vertical, du bureau à la poubelle.
Toujours est-il, que comme le petit colibri, j’ai pris ma part, en faisant mon courrier.
Et peut-être qu’à force, l’évidence finira par s’imposer ?
παρρησία 