Excédé par les vexations et les humiliations de la maire de Morangis, son adjoint la saisit par le col et la force à sortir de la salle

Si un « coup de sang », aussi regrettable soit-il, surtout quand il porte à de telles conséquences, peut parfaitement se comprendre, comme une explosion provoquée, à un moment donné, par la conjonction de plusieurs facteurs, les vexations et les humiliations gratuites répétées des maires, qui provoquent ces « coups de sang » sont, quant à elles, parfaitement injustifiables et impardonnables. 

Le problème aujourd’hui, est que les partis politiques investissent les plus cons ; et que les cons ayant parfois quand même conscience de leur connerie, ils ressentent aussi ce besoin d’écraser la gueule des autres pour se sentir supérieurs à eux, si ce n’est pour se sentir exister tout court…

Le « coup de sang » de l’adjoint à la maire de Morangis aurait pu être le mien, à la différence que TEILLET fait une tête de plus que moi, quasiment deux fois mon poids, et du rugby.

Mais moi aussi, je subis les humiliations et les vexations répétées du fraudeur Alexis TEILLET et de sa bande ; de l’administration également.

Aggravé par le phénomène de bande qui fait que vous avez 27 connards qui ricanent quand l’un dit un truc contre vous, auquel vous ne pouvez pas répondre parce que vous n’avez pas le droit au micro.

Dans l’indifférence des pouvoirs publics, de la Justice et des médias qui donnent trop souvent raison au maire par principe.

En témoigne rien que le titre de l’article qui pose VERMILLET en victime, tout en gommant la responsabilité de ce qui lui arrive ; d’où le titre provocateur de mon article.

La violence de mes écrits est d’abord et essentiellement cathartique ; certains diraient même étiologique. Mais tout le monde ne peut pas écrire, pour extérioriser ses colères, d’autant qu’il faut parfois en répondre devant la Justice.

Mais je peux vous assurer que quand l’écrit ne suffit pas ou plus, la violence physique apparaît. C’est comme cela qu’ont toujours commencé les émeutes.

Personne ne veut voir le fascisme d’Alexis TEILLET, parce que dans l’esprit des gens, le fasciste est celui qui met des juifs dans des trains.

Mais si on a pu mettre des juifs dans des trains, c’est aussi parce qu’on avait préalablement fait sauter tous les garde-fous démocratiques, au moyen de phénomènes de bandes, qui ont étouffé les violences de ceux qui avaient à s’opposer.

Or, la plus grande violence de TEILLET, ce n’est pas de détourner la loi pour faire ce qu’il veut ; c’est de vouloir contrôler mon expression qui critique ce détournement.

Jean-Marc DUFOUR ne peut pas avoir eu tort de s’en prendre à Brigitte VERMILLET à partir du moment où c’est Brigitte VERMILLET qui est responsable du comportement de Jean-Marc DUFOUR.

À une violence psychologique, il a répondu par une violence physique.

L’une n’est pas plus grave que l’autre ; ce sont toutes les deux des violences, moralement condamnables.

Est-ce que le pouvoir est violent, ou est-ce que le pouvoir rend violent ?

Une chose est certaine : la société est de plus en plus violente ; ce qui n’est pas non plus la même violence qu’au Moyen-Âge, où on se faisait détrousser au coin de la rue.

Je constate et je déplore que les élus aux responsabilités ont besoin de se montrer de plus en plus violent, ce qui trahit essentiellement leur manque de confiance en eux, puisqu’ils bénéficient normalement de tous les leviers, pour s’imposer sans avoir besoin de recourir à aucune forme de violence.

Cette violence des élus étant elle-même un masque pour renvoyer à leur incapacité profonde. On ne retient plus leur action politique, très faible au demeurant, mais leur action violente, et on acquiert le sentiment qu’il se passe quelque chose.

La question est maintenant de savoir jusqu’où cela va monter…