Publié par À l’approche d’une élection, il est toujours bon de remettre quelques pendules à l’heure.
Au sujet de cette « punaise » d’Olivier VAGNEUX, pour paraphraser Laurent SAUERBACH (un des nombreux qui trouvaient normal l’invalidation de l’élection de DEFRÉMONT mais petites choses fragiles qui s’offusquent qu’on pourrait invalider l’élection de TEILLET), qui coûte à la Ville un fric fou et qui perd tout le temps !
Mais, hé, les neurotypiques, connectez donc vos deux neurones : si je perdais tout le temps, je serai condamné aux dépens et aux frais irrépétibles, donc la Ville ne perdrait pas d’argent, puisque je serai condamné à la rembourser !
Est-ce que c’est le cas ? Non, parce que je gagne régulièrement. La preuve encore, ce jeudi 9 juin 2022…
C’est pas ma faute si vos élus et votre administration font des conneries, puis qu’au lieu de les assumer, ils préfèrent dépenser 2 800 euros par affaire pour défendre leurs conneries.
Ils feraient moins de conneries, je ferai moins de recours ! Ou ils auraient raison, et je serai condamné, et peut-être alors que je me calmerai ?
Et puis arrêtez de mettre des avocats sur le coup à 850 euros HT pour prononcer 10 mots (« Monsieur le Président, je m’en rapporte à mes écritures ») ! Envoyez Sandra ALVES, ou même Jordan HAYERE, notre nouveau PRADA (personne responsable de l’accès aux documents administratifs), comme les autres communes envoient leurs directeurs des affaires juridiques… Je les latterai tout autant que ce que je latte vos avocats mais nous aurons fait de sérieuses économies.
Mort de rire ; j’écrivais il y a quelques semaines à une administration en adressant mon courrier à la PRADA. Ces cons me répondent : il n’y a personne du nom de « La PRADA » ici. J’étais foudroyé par terre.
À relever que le Conseil citoyen de Grand-Vaux est enjoint de publier ses travaux !!!
Par contre, si vous voulez pouvoir gueuler, c’est bien contre le détournement de bien public de TEILLET qui a utilisé l’argent de la Commune pour défendre des élections personnelles, alors que, si vous suivez un peu mes interventions en Conseil municipal, j’avais annoncé qu’il s’agissait d’une pratique irrecevable, et au surplus illégale. Je l’avais également réécrit dans mes mémoires. Donc les 2 500 euros que la Commune me réclamait dans ce dossier, eh bien, pour citer ZEMMOUR : « bien profond ».
Se pourrait-il sinon que je gagne encore contre l’imprimeur de la Commune de Savigny ?
Je vois difficilement comment il peut se justifier d’avoir omis les mentions légales.
Audience de fixation le mardi 28 juin !
J’étais sinon hier à la célèbre XVIIe chambre correctionnelle du Palais de justice de Paris.
Désolé, je n’ai pas fait mon REDA. Pas d’article pour dire que j’ai pris le RER !
Mon secret pour stationner à proximité de la gare sans payer, c’est d’aller me garer devant le cimetière de la Martinière. Juste à coté de chez Jean-Marc (comprenne qui pourra).
Étaient notamment cités à comparaître Gilbert COLLARD et Edwy PLENEL.
En arrivant, les gendarmes qui me disent « Bonjour Maître ».
J’ai obtenu 30 minutes de plaidoirie.
L’avocate de la partie adverse qui glisse sournoisement : « Il n’aura pas besoin de tout ce temps. »
Et moi de penser : « Effectivement, c’est bien plus qu’il m’en faut pour te moucher. »
Et l’avocate me fait le reproche de ne toujours pas lui avoir communiqué mes écritures, à moi qui suis incapable de ne pas travailler dans l’urgence, à la dernière minute, et qui exceptionnellement, une fois dans ma vie, lui avais préalablement communiqué une fois précédente plus d’un mois avant, et elle, qui avait quand même demandé un renvoi pour préparer sa défense !
Avant l’audience, je passe au greffe de la Chambre de l’instruction pour passer prendre copie des réquisitions de l’avocat général dans une affaire.
Lequel greffe est situé en face des locaux du Parquet général.
Évidemment, sur qui je tombe en arrivant ? Sur ma substitut préférée, qui après trois fois à requérir des amendes civiles contre moi, dont aucune n’a aboutie, parce que j’ai à chaque fois gagné, mais aussi parce qu’elle ne me les avait pas correctement notifiée, a désormais cessé cette pratique.
Peut-être a-t-elle compris que j’avais un bon fond ?
Alors je ne peux pas violer le secret de l’instruction, mais se pourrait-il bien qu’elle me donne raison dans mon affaire ?
C’est celle où la procureure me dit que je peux porter plainte jusqu’au 5 juin, je porte plainte le 3 juin, puis elle requiert, contre elle-même, la prescription de l’affaire… Schizophrénique !
C’est sur cette question que je vous laisse, il faut que je m’incruste, puisque je n’y ai pas été invité, à l’inauguration du Point information jeunesse par notre maire Robin REDA. Oui, vous avez bien lu.
Inauguration deux jours avant le premier tour des législatives ; c’est comme tous ces travaux de rebouchage et de peinture cette semaine dans Savigny. Avez-vous remarqué ?
Ils sont vraiment bêtes au Parisien de l’Essonne car ils prétendent qu’il a déjà été inauguré en 2019 ! Et accessoirement, c’est ma photo qui est indexé à l’article. Mort, ressuscité et re-mort de rire !
Les conseillers municipaux de Savigny-sur-Orge sont donc des clochards ; nous avons besoin de lire le Facebook de la Commune pour découvrir ce qui va être inauguré.
Je me demande bien si je serai invité à la fête des agents prévue le samedi 25 juin 2022 à partir de 12 heures au Parc Séron. C’est absolument pas comme si j’avais aussi prévu de m’y incruster ! Là encore, c’est schizophrénique, parce que tous les agents me détestent mais que depuis le dernier Conseil municipal, je vais visiblement en récupérer deux comme clients. Mais pourquoi viennent-ils donc me voir moi ?
παρρησία 
Il n’y a pas de samedi 25 mai 2022 par contre de samedi 25 juin, là oui.
« À relever que le Conseil citoyen de Grand-Vaux est enjoint de publier ses travaux !!! » => impossible tous les compte-rendus y compris les sauvegardes ont brulés dans l’incendie de la maison du projet.
Ça va tellement être cela ! Tu viens de leur filer l’idée du siècle. Après, à ma connaissance, ils se réunissaient toujours à la maison de quartier. Mais ironie, dois-je préciser, peut-être pourrait-elle connaître un même sort pour en faire un lieu aussi chaleureux et flamboyant ? Je me rappelle de cette préfète qui avait parlé pour Calais de « tradition de la population migrante ». Mort de rire.