Publié par En ce 1er avril 2022, je veux mettre fin à un terrible secret qui pèse sur ma conscience, m’empêche de dormir et finalement, ruine mon âme et ma vie.
Je ne me supporte plus. Je ne peux plus continuer à me regarder dans un miroir. Je ne peux plus me relire, tous les jours sur ce site, et m’entendre en bien d’autres endroits, salir la réputation, la compétence et le professionnalisme des personnes les plus merveilleuses et les plus talentueuses que Dieu ait mis sur mon chemin : je veux bien sûr parler des agents communaux de Savigny-sur-Orge.
Je m’en vais donc vous révéler la vraie vérité, dans son essence la plus pure et la plus parfaite : les agents de la mairie de Savigny-sur-Orge sont mes alliés et mes complices pour détruire le mandat de TEILLET (parce que nous travaillons en fait tous pour Jean-Marc DEFRÉMONT, mais chut !).
Ainsi, toutes ces « fautes », que je leur impute calomnieusement tous les jours, n’ont rien d’anodines ou d’innocentes ; elles sont en fait pensées, préparées et coordonnées !
Parfois, c’est moi qui leur demande intentionnellement de faire telle bêtise pour pouvoir réagir ensuite, avec le style et la facétie que vous me connaissez.
Parfois, c’est eux qui sont à l’initiative, et qui me proposent d’innover pour emmerder TEILLET… Et là aussi, ils savent révéler une imagination particulièrement vive.
Bref, j’espère que vous ne m’en voulez pas de trop.
Je pense d’ailleurs que dans le fond, vous vous en doutiez bien quand même, parce qu’on a pas toujours été discret ou très malin.
Parce que, sérieusement, c’est quand même pas possible, limite pas humain, de pouvoir être aussi mauvais.
Et effectivement, pris dans notre élan, on s’est laissé quelque peu submerger par nos colères et nos haines, notre idéologie et nos aspirations.
Mais je vous promets qu’on va se reprendre et faire plus attention.
Dans tous les cas, j’espère que vous voudrez bien me pardonner.
Je vous souhaite une bonne journée de 1er avril.
Et surtout, ne croyez pas tout ce que je peux écrire sur ce site, parce qu’il peut aussi m’arriver de m’emporter quelque peu.
παρρησία 