Mais qui est cette conne de « proche du maire » qui affirme que la mairie n’a pas reçu d’autres dossiers pour l’urbanisme transitoire de Grand-Vaux ?

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Qui donc ose se permettre ainsi d’attenter à mon monopole d’ouvrir sa gueule sans savoir ?

Toute la différence est que c’est juste un petit peu plus emmerdant, quand on le fait en se prévalant du maire, et qu’on se répand en contrevérités dans la presse locale, lesquelles acquièrent de ce fait un certain caractère officiel…

Car il se trouve en effet que je dispose de l’accusé de réception du dépôt d’un dossier de proposition commerciale d’urbanisme transitoire, parvenu plus d’un mois après la date de clôture des offres !

(cet appel d’offres qui est toujours ouvert mais dont nulle part il n’est écrit qu’il est toujours ouvert…  ¯\_(ツ)_/¯).

Mais en fait, cela doit être dans le multiverse puisqu’il y a une conne de sachante pour m’expliquer que non, ce n’est pas vrai…

La personne appréciera (je pense à celui qui a déposé un dossier et qui apprend dans Le Parisien qu’il n’a en fait pas déposé de dossier…)


Et comme maintenant même la préfète déléguée à l’égalité des chances me dénie le fait que je travaille sur Grand-Vaux… Ou même le fait que j’y ai des activités, et par exemple, que j’en fréquente l’église tous les samedis soirs depuis 18 ans…

Je n’ai donc même pas pu l’aider à monter son projet !

Je trouve toujours intéressant d’avoir l’avis de personnes qui ne se sont jamais rendus à Grand-Vaux autrement qu’en bande et entourés de policiers.

Dans ma tête, j’ai envie de lui dire : Mais d’où parles-tu, meuf, toute préfète que tu es ? En 2019, le Tribunal m’a reconnu un intérêt à agir, et tu voudrais que je l’ai perdu en trois ans ? Réponds plutôt sur le fond de mon recours. Pourquoi trouves-tu normal qu’il ne reste que douze compte rendus sur trois ans d’activité du conseil citoyen ? Est-ce qu’il ne faudrait pas mieux confier l’animation du conseil citoyen à d’autres gens plus sérieux ?


Alors, ô quelle surprise pour cet appel à projets, truqué de bout en bout, avec la complicité des pouvoirs publics : les nouveaux commerces ne fonctionnent pas !

Et je peux même vous donner un scoop  : ils ne fonctionneront jamais !

Ah ben, c’est bizarre, l’habitant de Grand-Vaux qui vit avec une moyenne de 840 euros d’aides par mois (= 28 euros par jour) n’a pas 1 euro 50 à mettre dans de la pâtisserie !

Serait-il donc possible que le jury, composé pour l’essentiel d’un ramassis de ratés et de planqués, de petits fonctionnaires minables et d’élus incompétents, qui n’ont jamais fait de commerce ni monté d’entreprise, et qui sont venus expliquer à des entrepreneurs confirmés pourquoi ils allaient réussir ou se planter… Est-ce que tous ces bonnes gens auraient pu… se tromper ?

Quid des brillants cerveaux qui ont par exemple dit à Mme SCHELPE, interrogée dans l’article, qui m’avait interpellée parce que j’avais écrit que des jeunes du quartier voulait brûler les boutiques et que je voulais faire « péter » l’appel à projets, qu’elle allait réussir, en vendant, c’est marqué sur la photo de l’article du Parisien, le fondant au chocolat à 1,70 euro, et le muffin à 1,30 euro, quand la pizzeria, il y a quelques années, s’était vautrée à proposer une formule complète pour seulement 5 euros…

Moi, mon sentiment reste qu’elle a été choisie par racisme, parce que cela faisait ouvert et tolérant d’avoir une femme voilée parmi les commerçantes. C’était bon pour les clichés, tant au sens propre (les photographies officielles) qu’au figuré (le racisme inversé qui consiste à se targuer d’antiracisme pour justifier d’être encore plus raciste ; c’est DUPOND-MORETTI qui veut des immigrés pour faire son ménage).

Mais ce ne sera jamais aussi drôle que quand ils ont validé le projet de mangathèque ! À quel moment est-ce que quelqu’un s’est dit que ce serait mieux qu’un coiffeur (diplômé) voire qu’un magasin de dépannage ? Même le projet de scierie associative de Bernard BLANCHAUD était plus viable et plus intéressant !


Dans l’article, les « jeunes » du quartier se demandent pourquoi certains projets, qui les intéressaient, n’ont pas prospéré.

Moi, j’ai la réponse : c’est parce qu’ils ont été montés par VAGNEUX !

Sur mes trois clients, j’en ai deux qui ont été dégagés au niveau d’un premier filtre, qui n’était pas prévu dans l’appel à projet ; qui n’a donc pas respecté le code de la commande publique.

Et puis j’en ai un, qui maintenant a renoncé et part travailler ailleurs, qui a reçu une note de 12 sur 20. On lui a dit vous avez tout bon sauf votre business plan. Petit problème, le budget prévisionnel était noté sur 6. Donc au pire, il aurait dû avoir 14 et pas 12. Et puis, il retourne à la chambre des métiers et de l’artisanat, et on lui répond, j’ai le courriel, que son budget était très correct, certes par parfait, mais pas à jeter non plus.

Bref, un appel à projets truqué de bout en bout… Dont les malheureuses premières victimes sont ces fameuses commerçantes, mis en avant par Le Parisien, qui s’y sont laissés prendre, de bonne foi, et qui maintenant vont y laisser des plumes…



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