Je n’ai pas appris grand chose dans ce documentaire que j’ai trouvé assez long et finalement assez décevant. Voilà néanmoins quelques notes et réflexions à la vision de ce film.
- Une partie de la définition de « drogue » pourrait être celle d’un produit qui améliore les performances du cerveau.
- Discours assez lénifiant. Dans ce cas, tout est drogue et tout est addictif.
- Explication complètement absente de l’histoire de l’alcool, utilisée comme un produit hygiénique, pour couper et purifier l’eau.
- L’alcoolisme se développe le plus fortement en Afrique. Comme si le continent n’avait pas assez de problèmes. Et où trouvent-ils l’argent ?
- Je ne buvais déjà pas de bières. Mais quand je vois les hôtesses Heineken en Afrique, traitées comme des prostituées, je boycotte la marque et j’invite quiconque à en faire autant.
- La communication des géants de l’alcool, similaire à la communication des géants du tabac et de l’agro-alimentaire : ce n’est que la faute des gens s’ils boivent…
- Il n’y a pas d’âge pour être alcoolique : même les adolescents peuvent l’être.
- Je n’ai jamais entendu parler de ces 3 instincts du cerveau : d’excitation, de détente et d’imaginaire…
- Je ne comprends pas la politique islandaise, et en quoi montrer aux gens qu’ils peuvent ressentir les mêmes émotions en faisant du sport qu’en buvant, va les faire renoncer à boire, d’autant que l’un est plus fatiguant que l’autre. D’autant qu’on remplace alors l’addiction à l’alcool par l’addiction au sport…



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