Non sans rappeler que l’état sanitaire actuel du Nord-Essonne n’est que la conséquence du choix d’un certain Robin REDA, président du comité de surveillance de l’hôpital de Juvisy, qui en a accepté la fusion administrative avec l’hôpital de Longjumeau,
Je m’étonne qu’une ministre ait du temps pour un « échange sur la situation politique et la défense de l’offre de soins ».
Surtout avec quelqu’un, reconverti en lobbyiste, qui n’est plus rien d’autre que le responsable des élections chez Renaissance…
Oh ! Exactement comme l’étiquette politique de la ministre !
Franchement, ces gens qui font passer leurs intérêts personnels et leurs convenances politiques avant la mission d’État qui leur est confiée, continuent d’écœurer et d’éloigner les Français de la politique…



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