C’est dans une affaire d’accès aux documents administratifs.
La loi dit que pour certaines délibérations de ressources humaines (relatives à la gestion des agents municipaux), le comité social territorial (CST), qui est l’organe de représentation et de défense des agents, doit préalablement se prononcer sur les questions ensuite soumises au conseil municipal.
Mais à Savigny-sur-Orge, c’est assez folklorique !
Pour changer. TEILLET ne tient vraiment rien.
Mais alors vraiment vraiment rien !
Et si je veux aller sur le terrain de la métaphore sexuelle de la virilité, j’écrirais quelque chose comme encore faudrait-il, pour la tenir, qu’il puisse la voir.
Une question de poids, au sens d’importante. Ou plutôt une question de taille. Mais je ne vous dis pas si je parle de tour (de son ventre) ou bien d’autre chose…
Soyons sérieux, et revenons à notre sujet.
T’as les réunions du CST où pas la moitié des représentants du personnel sont là, en début de séance, ne permettant pas une consultation valable.
T’as les réunions où ils font même voter les suppléants, en plus des titulaires !
Et FO se retrouve avec 3 votes, alors qu’elle n’a que 2 sièges !
Et puis t’as les réunions où les dossiers de séance ne comportent pas les sujets qui seront ensuite examinés par le conseil municipal.
Et ce grand benêt de TEILLET d’ânonner péniblement : « u-na-ni-mi-té ».
Bah, c’est sûr qu’avec, autre cas de figure, un seul représentant du personnel présent sur quatre, au moment du vote, parce que l’autre délégué s’est barré en cours de séance, c’est pas très compliqué.
Et donc, comme ils sont un tout petit peu moins cons que ce pour quoi j’essaie de les faire passer, ils se disent qu’il vaut mieux ne rien communiquer, surtout quand je les ai déjà gaulés !
Et ainsi, ils te racontent qu’ils ont malencontreusement égaré les documents qui révéleraient ces petites manœuvres.
À noter qu’il s’agit de documents que le droit ne permet pas de détruire, qu’il faut tenir à disposition pendant cinq ans, mais surtout qui doivent ensuite être archivés définitivement !
Des documents qui ont entre 4 et 7 mois quand je les demande…
Alors, je commence par rappeler que la Commune commet une faute à détruire ces documents, qui me préjudicie pour ce qu’elle m’empêche de vérifier la validité du vote en CST.
Et je demande 2 000 euros, pour réparer mon bobo cœur.
Mais c’est trop tard, car l’instruction est déjà close.
Alors, je demande une réouverture de l’instruction.
Et celle-ci m’est accordée !
Possiblement parce que la juge se rend compte que Savigny se fout de sa gueule… ¯\_(ツ)_/¯
C’est quand même un peu facile de dire qu’on a perdu les documents qu’on ne veut pas communiquer, surtout quand ils sont de cette importance, et que leur perte se fait six mois après leur édition…
Donc déjà gros bordel à la mairie qui égare des documents récents.
Mais surtout jeanfoutisme collectif car aucun élu n’est capable de donner ceux qu’il a obtenus, et qu’il aurait pu archiver…
Au cours de la séance du conseil municipal du 25 septembre 2025, pour le vote de la décision modificative du budget, je proposerai qu’on achète des boîtes à archives à Laëtitia BETREMIEUX, l’archiviste en chef, pour qu’elle puisse faire son travail.
C’est honnêtement la seule solution qui explique cette « perte »… Mort de rire !




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