Rappelez-vous, fin juillet 2025, la CNIL (Commission informatique nationale et libertés) m’informait qu’elle n’avait été rendue destinataire d’aucune analyse d’impact sur la protection des données (AIPD) collectées par les caméras de vidéoprotection de Savigny-sur-Orge, alors que le directeur de cabinet de la préfète écrit dans un arrêté qu’il l’a transmis à la CNIL.
J’ai donc sollicité la Préfecture de l’Essonne pour obtenir ce document de sa part, afin déjà de vérifier son existence.
Mais de son côté, le cabinet de la préfète nous informe que le document existe, mais qu’il n’est pas communicable.
Le document a-t-il donc bien été transmis ? Dans tous les cas, l’un des protagonistes ment…
À suivre…


Répondre à Jean-Marie CORBIN Annuler la réponse.