J’ai répondu à Jean-François MALGUY qui m’interpellait : « De quelle autorité ? »
Je ne suis pas maire, je ne suis pas adjoint, je n’étais même pas invité…
La prochaine fois, votez mieux, et c’est le maire qui vous aurait salué…
Il y avait ce matin, une messe d’hommage, pour le repos de l’âme d’Alain MOREAU (1928-2024).
J’aimais bien M. MOREAU. En 1943, à 17 ans, il avait rejoint La France libre en Angleterre pour combattre. C’était quelqu’un M. MOREAU.
Mais visiblement pas quelqu’un d’assez bien pour que le maire se déplace en personne.
C’est vrai que des Saviniens qui ont rejoint DE GAULLE en 1943 pour prendre les armes, c’est très commun.
La municipalité était donc représentée par Anne-Marie GÉRARD et par Daniel GUETTO.
Pour ma part, je n’avais pas reçu d’invitation, et j’étais là, par hasard, en tant que chrétien, qui va à sa messe du jeudi matin.
Je persiste à affirmer que je n’avais donc aucune légitimité pour saluer les drapeaux…
Après, il y a « drapeaux » et « porte-drapeaux ».
Et vu les tombereaux d’insultes que je me prends des « porte-drapeaux », qu’ils restent entre eux.
Ils n’invitent pas les élus des oppositions à leurs repas, ils sont maqués avec la majorité municipale, et ils s’imaginent que j’ai envie de les saluer.
Déjà, quand tu vois les Jean ESTIVILL, président d’association d’anciens combattants, qui n’ont jamais tenu un fusil de leur vie, qui déclament leur hispanité et qui viennent critiquer dans leurs discours publics les soldats français patriotes de la guerre de 14, (quand ils ne font pas du révisionnisme à raconter que c’est « La Nueve » toute seule qui a libéré Paris en 1944).
Mais alors quand en plus tu les vois défendre une République de pourris ; ça me fait mal déjà de les voir aussi peureux par rapport au courage dont ils ont fait preuve au combat, mais ensuite merde pour ceux qui sont morts pour la situation dans laquelle on se trouve aujourd’hui… Putain, morts pour que TEILLET soit un salarié de la politique et se goinfre d’argent public, lui et ses copains, sans respecter les lois, et en atteignant aux principes démocratiques les plus élémentaires ; à commencer par le fait qu’il se réserve les hommages, et n’a pas la décence d’en informer les opposants…

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