Début décembre 2023, crise d’hystérie de la directrice des affaires juridiques qui refuse d’exaucer ma demande de désocculter un projet de convention qui doit être approuvée par le conseil municipal, au motif qu’elle contient des données personnelles.
Fin décembre 2023, publication de la même convention, avec les données personnelles… ¯\_(ツ)_/¯
Les habitants sont donc plus capables que leurs représentants de recevoir des informations prétendument couvertes par le secret de la vie privée.
Les élus apprécient.
François Ier aurait-il tapé juste en affirmant : « Souvent, femme varie, et bien fol qui s’y fie ».
La convention n’en a pas moins été déférée au tribunal administratif, pour défaut d’information des élus du conseil municipal, qui ont approuvé une convention biffée.
Et je ne désespère pas d’arriver, un jour, à faire comprendre à la déléguée à la protection des données, Laëtitia BETREMIEUX, et à la DAJ, que les conseillers municipaux sont exclus de l’application du RGPD, en tant qu’ils sont eux-mêmes responsables de traitement des documents du conseil municipal, mais que c’est à eux d’appliquer le RGPD quant aux documents qui leur sont transmis et qu’ils voudraient réemployer.
Les documents de l’article
Le projet de convention soumis aux élus et approuvé en l’état
Mon intervention au conseil municipal
La convention publiée







Répondre à Jean-Marie CORBIN Annuler la réponse.