Savigny-sur-Orge, 38 000 habitants, environ 25 marchés publics passés chaque année, et il n’y a même pas ou plus les compétences en interne pour rédiger les marchés… ¯\_(ツ)_/¯
C’est-à-dire qu’on aurait moins de chefs (13 % de l’administration est chef à Savigny) ; ou plutôt des chefs capables de faire ce travail pour dépanner, et plus d’ouvriers, qu’on aurait peut-être pas ce problème (?)
Que fait la directrice des affaires juridiques, à la tête du service de la commande publique ? Que fait le directeur général des services adjoint chargé des ressources ? Que fait le directeur général des services ?
Moi, dans ma formation, j’ai appris le principe de la rédaction d’un marché public.
Ne me le demandez pas, parce que ce n’est pas ma pratique, mais je pourrais essayer.
Je pense que si tout le monde y mettait du sien, on y arriverait sans recourir au privé !
TEILLET, à force de glorifier des catégories A incompétents, a fait fuir les catégories B, qui font tout le sale boulot, pendant que seuls les catégories A en tirent le mérite.
Bilan de la gestion humaine de TEILLET : des cat° A incompétents, des cat° B qui se barrent et qu’on ne parvient pas à remplacer…
ET le recours au privé pour ce que le public n’est plus capable de faire (= on paie deux fois).
En réalité, le vrai problème dans la rédaction d’un marché public est la définition du besoin ; sauf qu’il s’agit d’un sujet éminemment politique.
Et comme à Savigny, le politique s’est dessaisi au profit de l’administratif. Et qu’en plus, l’administratif est nul…
Moi, je reprendrai toutes ces sujets en main ! Et cela commencera par de la réorganisation interne.



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