Pour celle de CHEVALIER, je ne pourrais pas la faire sauter, car elle a très stupidement lu, mot-à-mot, les documents rédigés par Sandra ALVES, directrice des affaires juridiques, ou une autre personne du genre, toute aussi méconnaissante du principe de présomption d’innocence ; et évidemment scrupuleusement relus par les avocats conseils du cabinet qui gérera le contentieux administratif (¥€$), donc que c’est malheureusement bien une faute de service, couverte par la collectivité, à l’exception des dommages-intérêts qu’elle pourrait devoir me verser.
Mais par contre, pour celle de TEILLET, on ira au recours parce qu’il s’est fait plaisir, tout seul, à sortir des saloperies diffamatoires à mon encontre, notamment en comité de quartier, lesquelles relèvent de la faute personnelle, donc ne sont pas protégées par la protection fonctionnelle !!!
Allez, on finit bien le mandat : plus de 100 000 euros dépensés par le maire en procès contre son principal opposant !
Au fait, en février 2025, TEILLET qui pleurniche au Tribunal : ouin, ouin, c’est pas de la diffamation publique, parce qu’il n’y avait que 36 personnes présentes, donc c’était pas public (moyen facilement écarté).
On comprend mieux pourquoi il a arrêté de diffuser les séances du conseil municipal !



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