Par un jugement no 2301895 du 4 novembre 2025, non définitif car susceptible de cassation pendant deux mois, le Tribunal administratif de Versailles a annulé le permis de construire du 14 novembre 2022 et le permis modificatif de 2024 des immeubles collectifs de 98 logements dans l’avenue Gambetta, en zone UH (pavillonnaire).
La Commune est condamnée à payer 1 500 euros de frais de justice aux requérants.
Surtout, ne cherchez pas ce permis sur cette carte produite par la Mairie !
C’est sûrement un oubli du service communication… ¯\_(ツ)_/¯
Ou alors, ils avaient déjà deviné à l’avance que le permis accordé serait annulé, tellement ils se font confiance… ¯\_(ツ)_/¯
Mais non, ils avaient juste oublié d’écrire qu’il ne s’agissait que des permis définitifs. Tout simplement. ¯\_(ツ)_/¯
En effet, je n’ose pas croire que TEILLET pourrait délivrer des permis dont il a parfaite connaissance de l’illégalité…
Alexis TEILLET est en permanence en train de prétendre qu’il a sanctuarisé la zone pavillonnaire et qu’il n’y touche pas ; ce pourquoi il avait quand même accordé ces deux permis.
Ah oui, mais au motif qu’ils respectaient la loi, donc qu’il ne pouvait pas s’y opposer, sauf à se voir lui-même condamner pour un refus de permis illicite !
Par ce jugement, la justice administrative vient de démontrer, non seulement qu’il ne devait pas octroyer ce permis, mais pire, qu’il aurait pu ne pas le faire.
Il avait des excuses légales et réglementaires toutes trouvées pour ne rien faire !
Mais que visiblement, ni son service urbanisme, ni son service juridique, n’avaient relevées… ¯\_(ツ)_/¯
C’est donc quand même bizarre, cette insistance à accorder ce permis de logements sociaux, pour un maire qui se veut de droite.
Et qui se vante de son contrat de mixité sociale, lequel au lieu de construire 1 200 logements selon le plan de DEFRÉMONT, l’oblige à en construire 2 800.
De vrais génies dans son équipe !
Reste à savoir si Alain CAVAROZ, voisin des terrains des deux permis, et qui n’a pas participé au recours, alors qu’a priori, le plus impacté par le projet, va maintenant devoir rendre sa médaille, qui lui avait été remise, comme par hasard, trois jours avant l’octroi du premier permis. Ce qui m’a toujours fait penser que c’était la contrepartie à l’acceptation de la délivrance du permis…
Ce qui est dommage, parce que dès lors que cette médaille aurait été obtenu au mérité d’une juste carrière professionnelle, il y aura toujours un doute insidieux.
Lequel CAVAROZ, en est tellement reconnaissant à TEILLET, qu’il ne connaît toujours pas son nom… ¯\_(ツ)_/¯



Laisser un commentaire