Depuis le 24 juillet 2025, Savigny-sur-Orge dispose d’un règlement des cimetières !!! Que j’ai déféré au tribunal administratif pour deux points.
Je m’y suis intéressé, et j’y ai appris plein de choses, que je ne manquerai pas d’aller revendre pour faire de l’argent.
À la première lecture, je me disais : ouah mais TEILLET, il y va fort, alors que c’est en fait juste le code général des collectivités territoriales qui est hyper précis, et parfois très strict, sur des points de détail.
Je me suis aussi dit : il y a des sujets sur lesquels il pourrait être plus humain ; par exemple, peut-être pourrait-on envoyer des lettres recommandés avec accusé de réception à l’échéance des contrats de concession ?
Et moi, ça ne me choque pas que le chien-chien à sa mémère, il puisse entrer dans le cimetière avec le pépère, pour s’allonger sur la tombe de sa propriétaire bien-aimée. Certains animaux le font. Surprenant !
Et je ne me désintègre pas sur place si je ne grave pas dans le marbre du règlement que les agents du service cimetière ont interdiction expresse, y compris après la cessation de leurs fonctions, de bitcher sur les trashes de ce qui se passe dans les lieux.
Savez-vous d’ailleurs qu’il existe une maladie psychiatrique qui consiste à se faire enfermer la nuit dans un cimetière pour s’accoupler avec des monuments funéraires (vous avez la même dans les musées avec les statues) ?
Et puis pourquoi forcément une plaque avec gravure or sur le columbarium ; tout le monde n’a pas 98 000 euros d’indemnités annuelles, 3 000 euros annuels de frais de restaurant et une voiture de fonction pour rouler 40 kilomètres par jour. Même si alerte divulachâge, ce n’est que du plaqué !!!
Fait amusant.
TEILLET a interdit les photos dans les cimetières sans autorisation municipale.
Devinez quel est le deuxième prochain document que je vais demander…
Dans mon recours, je dénonce deux erreurs de droit, que je qualifie aussi d’incompétence du maire.
– l’esthétique imposée sur les cases du colombarium ;
– le conditionnement des photographies à l’autorisation préalable du despotat municipal.
Sur l’esthétique,
c’est une jurisprudence constante du Conseil d’État de 1972.
Le maire n’a pas le pouvoir d’exiger ce niveau de détail.
Sur les photographies,
qu’il nous montre déjà l’exemple !
La Cour de cassation, chambre civile, a dit que seule la diffusion d’un image est interdite lorsqu’elle porte un trouble certain.
Pour finir, quelques extraits de ma requête.







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