Le coût pour le contribuable du caprice égotique de Brigitte VERMILLET pour être appelée présidente ; je publie le protocole transactionnel de rupture de la concession de l’eau potable avec Suez

Ni rasoir, ni menace de mort, ni vivisection, mais encore un recours contentieux, pour contraindre Michel LEPRÊTRE à communiquer le protocole transactionnel réglant les conditions de sortie de Morangis, Paray, Savigny et Villeneuve-saint-Georges de la concession de Suez (même s’il manque les annexes).

La régie de l’eau potable, ce n’est pas fait pour faire des économies.

Ce qu’on gagne sur le prix unitaire de l’eau, on le perd sur l’assainissement et les organismes publics…

Non, c’est fait pour que le PCF puisse placer ses gens, notamment Quentin DEFFONTAINES, directeur général de la Régie, de la famille de Léon, porte-parole du parti, et tête de liste aux européennes 2024 ;

et pour que VERMILLET puisse se faire donner du « Madame le Président ».

Alors, vous les entendez dire du mal de Suez.

Et ils ont raison car Suez est critiquable.

Mais qui est chargé de l’ingénierie de la Régie ?

Les mêmes de Suez…

Et d’ailleurs, imaginez votre facture, si on ne passait pas par eux…

Un ami me disait que ce protocole transactionnel n’en est pas vraiment un.

Article 2. On lit que l’Agence de l’eau a refusé de se substituer à l’EPT pour rembourser les annuités d’emprunts consentis à Suez.

Tu m’étonnes !

Le solde de renouvellement au titre de la commune de Morangis à reverser par Suez est diminué (même s’il est compensé par ailleurs).

La Régie reprend le paiement des intérêts des emprunts faits par Suez (et qui ont probablement fini en partie dans les poches de ses actionnaires).

Article 3. L’effort commercial de Suez qui devait porter à 100 000 euros pour la seule commune de Savigny, portera finalement à 25 000 euros pour Savigny et à 75 000 euros pour les trois autres communes.

Bilan : le gagnant est le privé Suez qui a fait et profité des emprunts, mais dont le remboursement sera effectué par le public, la collectivité ; et Savigny a été sacrifiée là où elle devait disposer d’un effort commercial de 100 000 euros, probablement en compensation d’un sous-investissement chronique, et puis finalement non…

Pour Morangis, l’argent qui devait aller au renouvellement des réseaux ira ailleurs que sur ce poste…

MERCI MADAME VERMILLET !!!

Une réponse à « Le coût pour le contribuable du caprice égotique de Brigitte VERMILLET pour être appelée présidente ; je publie le protocole transactionnel de rupture de la concession de l’eau potable avec Suez »

Jean-Marie CORBIN

septembre 19, 2025 at 1:57

Article très technique dont la lecture est difficile et nécessite une bonne connaissance des relations entre les administrations et entreprises privées.

Il s’avère que les analyses binaires du genre, « branleurs de fonctionnaires », « vite privatisons », « externalisation totale », etc sont des stéréotypes ressassés depuis des décennies et entretenus par des personnes particulièrement malveillantes.

La réalité est bien différente. Quand une administration fait appel au privé que ce soit dans un marché ou une délégation, le minimum est de surveiller de très près le déroulement des opérations et de prendre les mesures correctives voire coercitives quand ça part de travers. Et à partir de là, on augmente sensiblement tes chances qu’il y ait de la performance.

Au vu de d’expériences antérieures, j’ai l’intime conviction, que je saurais être un parfait connard en la matière vis-à-vis des fournisseurs. On leur donne du fric, ils nous doivent les prestations figurant au contrat, point !

Ceci étant ce point de vue cela ne semble pas être totalement assimilé par des salariés et leurs représentants syndicaux de certaines entreprises délégataires de services publics. (allez voir par exemple sur cgt-ratp ou révolution permanente, vous allez vite comprendre)

Si nous sommes un jour élus, je répondrais toujours présent pour t’appuyer sur le plan technique sur les dossiers où tu auras commencé à les déchiqueter sur le plan juridique. Et nous méprenons pas, être un connard vis-à-vis de roublards, je confirme que cela est bien pour moi, une vertu et une qualité.

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