Je reviens d’une huitaine de jours à Rome, et en Italie du Nord, avec un court passage par la Suisse.
Et comme à chaque fois que je pars quelque part un peu loin et un peu longtemps, j’écris une trentaine de cartes postales à la famille et aux amis.
Mais alors en Italie, le service postal est vraiment pire qu’en France ; et il n’y a même pas une poste ouverte tous les jours à la capitale, comme à Paris, la Poste du Louvre.
Et donc j’avais le choix entre acheter des timbres d’une société de distribution privée dans un « tabacchi » mais ne pas pouvoir les utiliser, car celui-ci n’avait pas de déclinaison locale à Ostie, où je résidais, ni à Rome, tant à Termini ( la gare) qu’à Fiumicino (l’aéroport).
Ou expédier depuis l’ « Ufficio postale » de la Posta italiane, mais sans timbres, donc elles ne seraient allées nulle part, car ils étaient fermés au moment de mon départ, et comme j’écris mes cartes les deux derniers jours, parce que je ne connais pas à l’avance ce qui va m’arriver…
Bref, à savoir pour une prochaine fois, que je dois acheter les timbres à l’avance et à la Poste (à priori du Vatican, disent les connaisseurs), puis me débrouiller pour trouver une boîte officielle,
sous peine, comme cette fois, de devoir revenir avec mes cartes, que je remettrai progressivement à leurs destinataires.

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