Dire qu’Olivier VAGNEUX menace de mort les gens est diffamant, tant que le même Olivier VAGNEUX n’aura pas été définitivement condamné pour pareils faits.
Bla bla bla… Atteinte à ma présomption d’innocence…
Bla bla bla… Atteinte aux droits de la défense…
Catherine CHEVALIER et Alexis TEILLET ont affirmé à plusieurs reprises que j’étais coupable de menaces de mort.
Ils n’ont jamais employé le moindre marqueur de nuance ou de doute. Tout semblait si évident…
Je les ai poursuivis de ce fait et pour ce fait.
Dans mon courrier en mairie du 27 juin 2025, il y avait une lettre du juge d’instruction du 25 juin 2025.
Le 19 juin 2025, je vois la prescription qui file et j’écris au juge de l’instruction désigné de connaître ce qu’il fait.
Hasard du calendrier, le 25, il m’écrit qu’il vient d’envoyer, le 23 (!), un avis préalable à la mise en examen des deux oiseaux.
La prochaine étape est un interrogatoire de première comparution, à l’issue duquel ils devraient être mis en examen.
En effet, en matière de presse, le juge d’instruction ne peut pas instruire sur la vérité des faits diffamatoires.
Donc il y a mise en examen dès lors que le propos est susceptible d’atteindre à l’honneur ou à la considération, ce qui est le cas ici.

Laisser un commentaire