En séance du conseil municipal du 3 avril 2025, Alexis TEILLET m’a prêté d’avoir dit que son service juridique était « nul à chier ». ¯\_(°_°)_/¯
Alors je ne me rappelle pas avoir employé cette expression précise. ¯\_(°~°)_/¯
Cela étant, quand je lis leur dernier courrier, je trouve quand même qu’ils sont plutôt bien « éclatés au sol » pour écrire autant de conneries en si peu de mots. ¯\_(ツ)_/¯
Là où je me suis particulièrement bien amusé, c’est de produire à la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) le mémoire juridictionnel qui accompagnait le tableau révélant un fichage.
Parce qu’effectivement, le tableau tout seul ne dit rien.
Par contre, le tableau, éclairé par le mémoire, qui le décrit par le menu, sur deux pages, dit beaucoup de choses.
Et moi, de rappeler qu’il y avait la référence du mémoire sur le tableau ; et que ce mémoire a été signé par TEILLET.
Et donc qu’en fait TEILLET, il produit des tableaux, mais qui ne correspondent à rien, parce que TEILLET, il est vraiment pas très très malin…
Puis, à la limite, ce ne serait que TEILLET. Il croule sous le travail. Évidemment qu’il n’a pas le temps de lire tout ce que lui rédige son brillant service juridique.
Mais au moins, le service juridique, il pourrait faire le lien avec le mémoire.
Bah non, même cela, il n’en est pas capable.
Éclaté au sol, j’ai écrit !
Et puis, le plus croustillant !
TEILLET qui m’écrit à la fin : si vous n’êtes pas content, vous pouvez saisir une autorité de contrôle puis le tribunal administratif (TA).
Mais mon grand, il n’y a qu’une seule autorité de contrôle en France, qui s’appelle la CNIL.
Et je pense que si tu le savais, tu aurais d’ailleurs donné son nom.
Et puis, tu saurais aussi que les décisions de la CNIL ne relèvent pas du TA mais du Conseil d’État…
Voilà, à la réflexion,
je pense que si TEILLET reformule mon appréciation de ses services en « nul à chier », c’est parce que c’est ce qu’il pense vraiment d’eux.
Et là, pour le coup, je peux difficilement lui donner tort, parce qu’ils merdent très sérieusement sur cette affaire.
En réalité, c’est leur ligne de défense qui est ultra-mauvaise ; déjà parce qu’ils n’ont pas lu ma demande mais qu’ils se sont focalisés sur le tableau.
Tu ne dis pas qu’il n’y a pas de données personnelles ; tu dis soit que le traitement est légitime, soit que pardon, on a tort, on ne le fera plus.
Du coup, par leur refus, ils offrent à la CNIL de pouvoir mener des investigations à la mairie, pour qu’elle en trouve encore plus.
Surtout que comme je feuilletonne de mon côté, j’ai encore deux missiles à leur envoyer sur la gueule.
Bref, ce n’est ni nul, ni à chier, c’est juste dénué de stratégie et d’intelligence au possible…



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