Le maire ayant refusé de corriger le procès-verbal, ce que je ne peux pas le forcer à faire, il me faut ici témoigner de ce qui s’est passé en commission économie locale et sécurité du 4 novembre 2024.
Tout a commencé lorsque les élus des oppositions ont fait valoir qu’ils étaient complètement écartés des thématiques de sécurité.
Et Lydia BERNET (PS) d’intervenir alors pour dire que les habitants faisaient remonter qu’ils se sentaient en insécurité dans le secteur de la gare de Savigny.
C’est alors qu’elle est brutalement interrompue, au milieu de son propos, par le responsable de l’urbanisme,
qui lui dit en substance, qu’on s’en fout, qu’il faut arrêter, parce qu’il n’y a pas plus d’insécurité à la gare de Savigny qu’ailleurs, qu’il habite proche d’une gare et qu’il s’est lui-même fait agresser.
Face à ce womenterrupting, j’interviens pour dire à CARETTE : qui es-tu, petit fonctionnaire, pour prendre la parole sans qu’on te l’ait donné ?
Et Patrice KOUAMA (DVG) intervient pour dire : votre devoir de réserve ne vous permet pas de donner vos opinions politiques personnelles.
Le ton monte.
Le super-flic, André MULLER, adjoint à la sécurité, et vice-président de la commission, est parfaitement incapable d’assumer l’autorité, et de ramener le calme. Il gesticule, mais personne ne l’écoute.
Chacun gueule un bon coup.
Puis au bout de quelques minutes, les esprit s’apaisent et la commission s’achève.
C’est alors que CARETTE s’avance vers KOUAMA, et lui propose d’aller s’expliquer dehors.
Ce qui est marrant, parce que KOUAMA est plus grand, facilement une tête de plus, et plus fort, en tout cas plus musclé, que CARETTE ; je pense que si ce dernier touche le premier, il se fait allonger direct.
Et Patrice, lui dit qu’il pue l’alcool, et s’en va.
CARETTE se tourne alors vers moi et me dit qu’il s’excuse, et qu’il n’aurait pas dû.
A priori, à la suite de cet incident, CARETTE a été reçu en entretien.
Mais impossible de connaître s’il est passé en commission disciplinaire.
Et s’il a été sanctionné, au demeurant autrement que par une sanction du premier groupe, du type avertissement.
Connaissant le TEILLET, comme il s’en est pris à un opposant, il n’y a eu qu’un avertissement ; et encore, c’est incertain.
En tout état de cause, il n’y a eu aucun test d’alcoolémie pratiqué ; et pour une pratique qu’ils ont illégalement inscrite au règlement intérieur des agents, on voit bien qu’ils ne la pratiquent pas sur leurs « amis »…

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