Par un courrier du 18 mars 2025, la doyenne des juges de l’instruction du tribunal judiciaire d’Évry-Courcouronnes m’informe avoir désigné un juge, M. DURY, pour instruire ma plainte en diffamation publique déposée contre Catherine CHEVALIER et Alexis TEILLET, que j’accuse d’avoir gravement méconnu ma présomption d’innocence, en affirmant ma culpabilité dans l’affaire des menaces de mort du maire de Savigny.
Il fallait voir TEILLET au tribunal le 11 février dernier.
Ce n’est pas seulement qu’il n’a rien compris à la présomption d’innocence.
C’est en plus qu’il affirme haut et fort, que si tu disposes des preuves de la culpabilité d’une personne, bah en fait, elle est coupable, et on peut se dispenser d’aller au Tribunal.
C’est intéressant comme vision de la justice pour un édile, et puis aussi pour un ancien étudiant en droit…
Pour Catherine CHEVALIER, je pense qu’elle peut remercier Sandra ALVES, directrice des affaires juridiques, d’avoir si bien rédigé la note de synthèse ; en tout cas, de n’avoir pas contrôlé le texte soumis aux élus.
Si elle est condamnée, elle sait déjà vers qui il faudra se tourner pour remercier !
Ah, au fait, je ne me rappelle pas vous avoir déjà écrit que j’ai obtenu 1 200 euros en échange de l’arrêt des poursuites contre une personne qui avait aussi atteint à ma présomption d’innocence ; pareil en annonçant que j’étais coupable d’avoir menacé de mort le maire de Savigny.

Laisser un commentaire