Ah si TEILLET en avait un peu quelque chose à faire d’Aurélie, il lui aurait donné un « vrai » avocat, lol !
Et dire qu’il se trouve encore des agents à la mairie pour penser que TEILLET les défend.
Mais comme il ne pense vraiment qu’à sa gueule !!!
Pour les vrais, à qui on ne la fait pas, sachez qu’Aurélie n’a en fait pas du tout été condamnée à me verser 5 K.
Mais c’est quand même beaucoup plus à mon avantage de le présenter de la sorte !
En réalité, c’est la nullité de sa citation qui emporte qu’elle doit me rendre les cinq mille que des juges ont été un peu trop pressés de me condamner à lui donner.
Je ne qualifierai pas la compétence de ces juges, car courageux mais pas téméraire, la procédure d’outrage à magistrat dont je fais l’objet n’est pas encore classée.
Sinon, je reste déçu par cet arrêt à double titre :
– d’abord parce qu’Aurélie a clairement commis une procédure bâillon, dès lors qu’il y a clairement un problème, à ce qu’elle cumule un emploi de directrice de cabinet de maire avec un emploi de collaboratrice parlementaire. Donc elle a cherché à me faire taire, et j’aurais dû toucher une indemnisation pour procédure abusive de sa part ;
– ensuite, parce que le défaut de domiciliation, que je soulevais, a été érigé en moyen d’ordre public par la Cour de cassation (Cour de Cassation, Chambre criminelle, 16 avril 1985, no 84-90.169, Publié au bulletin), et que le président de la Cour d’appel dit que ce n’est pas vrai.
De cette affaire ne va donc rester qu’un effet Streisand qui va poursuivre Aurélie là où elle aurait voulu étouffer l’affaire, mais également ma seule version subjective de l’histoire, ainsi que les deux procédures connexes que j’ai lancées contre Aurélie, et qui pourraient bien exploser assez tôt.
Le plus bizarre dans cette affaire, c’est quand même que Aurélie, qui se plaignait de mes propos, ne demandait pas ma condamnation à les retirer ; juste de l’argent [s’abstenir d’un propos misogyne pour ne pas perdre la moitié de mon lectorat].
Pas plus qu’elle ne m’a jamais sollicité pour les retirer ; ce que maintenant, je ne ferai plus, même aux termes d’un protocole transactionnel, car je ne suis pas un « pute ».
Et à part cela, j’en suis toujours à 0 % d’agents municipaux qui ont réussi à me faire condamner… ¯\_(ツ)_/¯
Mais cela reste un beau défi !
Voici l’arrêt.
J’ai enlevé le nom de mes parents.
Il y a deux considérants 15.
Vous allez découvrir la voie « électromoque ».
Et aussi que Aurélie s’appelle TROUBLAT.










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