Quand hier matin, j’ai écrit que, parfois, les magistrats d’Évry-Courcouronnes étaient quand même un peu des ploucs en droit de la presse, je crois que je n’étais pas si loin de la vérité…
La triste réalité, c’est que je suis tombé sur trois magistrates qui n’avaient pas envie de bosser, et qui ont trouvé le prétexte bien pratique d’une nullité de forme, pour refuser d’aller au fond et de traiter un dossier qu’elle n’avait pas préparé.
C’est clairement une forme de déni de justice (article 4 du code civil) ; puis aussi parce qu’il ne faudrait quand même pas appuyer sur le fait qu’on a des policiers municipaux faussaires à Savigny, qui rédigent de fausses main courante à la demande du maire, et roulent à 60 km/h dans les rues de la ville limitées à 50 au max.
Mais LATREICHE et VAULRY peuvent être certains que je n’aurais de repos, avant de les avoir trainés devant la cour criminelle départementale ; peu m’importe qu’ils soient partis d’ici-là, car actuellement, comme Marius NICE, leur chef, en train de chercher un poste ailleurs, parce que TEILLET ne leur a toujours pas versé la prime de 250 euros environ qu’il leur a promis à l’embauche.
Moi, je vivisèque des élus, donc ce ne sont pas deux petits gratte-papiers qui vont m’emmerder longtemps !
Sur quoi,
L’avocat de LATREICHE et VAULRY, qui n’est pas un des spécialistes parisiens que TEILLET se réserve pour lui, a fait une connerie en omettant de domicilier ses clients à son cabinet.
LATREICHE et VAULRY qui n’ont tellement rien à foutre de leur honneur et de leur considération qu’ils n’ont pas mis les pieds à une seule audience.
Ça pose un peu les mecs, bons soumis, qui étaient uniquement là en service commandé par le maire, aux frais des con-tribuables.
La présidente PEREZ a relevé d’office cette nullité.
L’avocat a dit n’importe quoi, en citant des dispositions inapplicables en droit de la presse.
Le procureur s’en est rapporté.
J’ai pris la parole pour rappeler que les nullités de l’article 53 de la loi de 1881 étaient relatives, que le Tribunal n’avait pas le droit d’en relever d’office, et que pour ma part, je ne la soulevais pas.
Mais le Tribunal s’est retiré pour délibérer et s’est quand même déclaré non saisi.
Je faisais la gueule. Au moins 7 heures de travail réduites à néant, et aucune indemnisation. Encore une fois !
Du coup, j’ai publié à nouveau les propos litigieux pour leur offrir un nouveau délai d’action de trois mois, qu’on puisse enfin avoir un loyal combat, dès lors qu’ils auront enfin un avocat correct, quand TEILLET, qui se soucie tant du bien-être de ses agents, daignera leur accorder les moyens d’une défense digne, autre que par le commis d’office du coin.
Moi, contrairement à d’autres, je n’ai pas besoin d’une arme à feu (Glock 17), d’un lanceur de balle de défense, d’un pistolet à impulsion électrique, d’un chien de défense, d’un tonfa, d’un uniforme, de gros muscles et de l’argent de la Commune pour porter mes grosses c*******.
C’est-à-dire que, comme mes ancêtres les Gaulois (c’est raciste de l’écrire car tout le monde ne peut pas en dire autant), je n’ai peur que d’une seule chose : que le ciel me tombe sur la tête !
Maintenant, on va voir si LATREICHE et VAULRY ont le courage de retenter une action en diffamation à mon endroit, comme cela ils pourront s’expliquer sans attendre sur les incohérences de leur fiche main courante ; en tout cas, avant que la juge d’instruction Ève SCHNEEGANS ne les convoque dans le cadre de la procédure pénale E23235000018 – No Instruction 8/24/8.
À moins que comme c’est Évry-Courcouronnes, elle trouve aussi un moyen de ne pas traiter l’affaire ? Je sens bien le non-lieu : absence d’élément matériel et absence d’élément intentionnel.


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