Agréable réactivité de la sous-préfecture de l’Essonne, qui a exaucé ma demande de communication en six jours seulement, en plein pendant la période estivale, sans commettre d’abus d’anonymisation, comme elle a pu faire par le passé ; ce qui lui vaut actuellement deux recours contentieux devant la juridiction administrative, qu’elle perdra. ¯\_(ツ)_/¯
Je rappelle le contexte.
Une attestation de témoin du premier adjoint au maire de Savigny en faveur du maire de Savigny dont la première page est écrite en noir et les deux suivantes en bleu.
Pascal LEGRAND a vraiment eu beaucoup de chance : son stylo noir qui tombe en panne juste après le dernier mot de la page 1 !
Alors quand bien même j’ai toujours un doute sur le fait que la première page soit de la main de Pascal LEGRAND, il se peut quand même bien qu’elle soit de lui… ¯\_(°~°)_/¯
La première page du formulaire de candidature à l’élection municipale de 2021, qui m’a été communiquée par le sous-préfet, recèle bien deux façons d’écrire le prénom. Et pourtant, c’est bien la même personne…
Elle révèle surtout que Pascal n’avait pas compris qu’il y a eu une dissolution du conseil municipal puisqu’il se revendiquait toujours conseiller municipal.
Et puis, on voit aussi qu’il a quitté Les républicains entre 2020 et 2021.
Coquinou, c’est toujours une cotisation d’économisée !
Par contre, je n’ai plus de doutes sur le fait qu’un des pouvoirs (procuration ou délégation de vote) de Pascal LEGRAND est bien un faux.
Cela fera l’objet d’un autre article à l’occasion.
Reste maintenant davantage la question de ces deux encres de couleurs différentes.
Que j’explique par le fait que la première version de LEGRAND écrite en noir, n’était pas assez bien pour soutenir la version du maire.
Et qu’on lui a demandé d’en écrire une deuxième ; en bleu, parce qu’ils n’avaient pas de noir à disposition…
Sur quoi, après en avoir réfléchi avec moi-même, et m’être auto-consulté, je ne vais pas me constituer partie civile de suite.
Mais je vais compléter ma plainte initiale, en demandant simplement au procureur d’étendre le champ des investigations…
à des faits délictuels de subornation de témoin (NATINF 194), tels que prévu à l’article 434-15 du code pénal et réprimés aux articles 434-15 et 434-44 du code pénal.






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