J’aime assez l’irrévérence d’employer du papier à en-tête de la Commune de Savigny-sur-Orge pour écrire à l’avocate qui va essayer de me latter la gueule parce que j’utilise du papier à en-tête de la Commune de Savigny-sur-Orge.
En avant-propos, je voudrais remercier le lecteur (et client), qui pour me remercier de mes prestations, m’a envoyé le guide protocolaire des correspondances, utilisé au Ministère de l’Intérieur (et des Outre-Mer).
Du coup, je l’ai lu.
Et j’ai un peu « pimpé » mes modèles de papier à en-tête ; plutôt j’ai corrigé des choses qui ne se font pas, même si ce n’est toujours pas parfait.
1°) J’utilise la bonne abréviation de pièce jointe qui n’est pas PJ : mais P.J. (sans les deux points).
2°) Je mets désormais mon titre, que mon interlocuteur aurait peut-être oublié, au dessus de la signature, suivi d’une virgule.
3°) Je place dorénavant l’objet sous l’adresse au destinataire.
J’ai aussi un autre lecteur-client, qui m’a offert ce 24 juillet 2024, un scanner portable (une caméra HD qui se branche par un port USB à un ordinateur portable).
Qu’il soit également remercié !
A priori, je l’inaugure ce mardi 30 juillet 2024 au service de l’urbanisme de Savigny, pour numériser des plans A3 !
Bref, j’espère sinon que mon espièglerie ne ressort pas trop de mon ton à l’avocate ; ton nécessairement misogyne, à moins que ce ne soit plutôt phallocrate ?
Lui demander si après 7 ans d’études, elle est capable de repérer les indices qui montrent que je suis OV, conseiller municipal, et pas le maire ou la Commune.
Lui indiquer ; j’aurais dû écrire au conditionnel, que j’espère n’avoir pas omis une pièce qui retarderait le traitement de mon dossier, et surtout, que si c’était le cas, j’agirais avant le dernier jour. On me laisse trente jours ; pourquoi donc attendrais-je donc le trentième pour agir ?





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