Vous trouvez que la justice est lente ?
Elle en est effectivement toujours à juger, en juillet 2024, des premières conneries de TEILLET de son tout premier conseil municipal du 13 janvier 2022.
Séance au cours de laquelle le Conseil municipal a voté pour qu’il y ait 3 (trois) représentants d’associations dans une certaine commission.
Et puis TEILLET a dit qu’il avait envie d’écrire 2 (deux) dans la délibération, parce qu’une association, qui n’avait pas été consultée préalablement, ne voulait en fait pas faire partie de cette commission.
Et il a écrit 2, oklm, comme si le Conseil avait voté 2…
C’est à ce moment qu’il nous faut, pour une fois, plaindre Sandra ALVES, la directrice des affaires juridiques, qui doit travailler avec cela.
30 mois qu’elle doit couvrir toutes les illégalités de TEILLET,
auxquelles elle prend néanmoins personnellement toute sa part ; rappelez-vous l’histoire des procurations éditées pendant la séance, qu’elle a rédigée de sa main, pour me faire croire que Angélique DE OLIVEIRA PINTO avait rédigé quelque chose.
Mais bon, apparemment, elle ne doit pas trop le mal le vivre pour continuer d’accepter ainsi à se faire bâcher sur tous les conseils de droit qu’elle dit donner, et finalement faire l’inverse de ce qui est juste.
Je ne connais pas ses motivations à avoir fait du droit.
En tout cas, c’est pas la justice qui l’étouffe.
Mais plutôt toutes les couleuvres qu’elle doit avaler.
Il y a un moment où les gens normaux prennent leur sac et se barrent.
Bon, pas elle…
Qu’importe, elle tombera avec TEILLET.
De toute façon, à ce stade, ils sont trop maqués ensemble.
Et puis, quand on voit déjà toutes les conneries faites pour le seul premier mois de janvier 2022, on se dit qu’il y en a bien eu d’autres depuis.
Bref, j’en reviens à mes représentants d’associations en commission.
Et c’est quand même là qu’ils sont super cons au service juridique,
parce qu’au lieu de plaider l’erreur matérielle dans leur mémoire en défense,
ils m’écrivent carrément que c’est consciemment qu’ils ont modifié la délibération,
dans un sens qui n’est pas celui qui a été voté en conseil municipal…
Probablement parce que c’est Léa LUNA qui a rédigé le mémoire en défense,
sans avoir un élément essentiel que Sandra ALVES avait oublié de lui dire…
La communication, mes amies ; parlez-vous pour d’autres choses que pour dauber sur moi !
Bref, ils avouent l’élément intentionnel du crime de faux en écriture publique !!!
¯\_(ツ)_/¯
Sur quoi, je m’étais donc effectivement rendu compte à partir d’un extrait certifié conforme de la délibération que TEILLET avait magouillé pour changer le nombre de représentants, différent de celui du dossier du conseil municipal.
Et j’en demandais à la fois la correction.
Mais aussi et surtout la communication de la délibération originale, dans sa version transmise au préfet, pour matérialiser que le faux n’était pas dans l’extrait vis-à-vis de l’original, mais déjà dans l’originale par rapport au vote des élus en conseil.
TEILLET finit par comprendre que je vais effectivement le poursuivre du crime de faux en écriture publique.
Faut bien reconnaître que pourquoi est-ce que je me priverais ?
Avec ALVES, ils balisent, parce qu’ils savent qu’ils ont quelque peu merdoyé.
Et donc, ils se disent : on va refuser de donner la délibération à VAGNEUX.
VAGNEUX qui saisit le Tribunal administratif.
En cours de route, ils tentent d’arnaquer le juge en fournissant la délibération modifiée, et en disant qu’il n’y a donc plus lieu de statuer ; l’important étant que je dispose de la délibération, peu en importe la version.
Manque de chance, il y a le tampon de la préfecture avec la date !
Et donc, on se rend compte que ce n’est pas la bonne version de la délibération.
Mais heureusement pour moi, la rapporteure publique me suit ; pour une fois !
Voilà, maintenant si ALVES et TEILLET veulent gagner un an de plus, ils n’exécutent pas le jugement.
Moi, ça me fera du fric en plus pour résistance abusive.
Et leur petit couple tombera quand même à la fin !
Sinon, le Tribunal de Versailles a essayé de me faire un « coup de pute ».
Mais vous me connaissez, comment vous écrire que je ne les ai pas trop laissés faire ?
Vous avez une règle qui dit qu’il faut 7 jours entre une convocation et une audience.
C’est l’article R. 711-2 du code de justice administrative.
Le juge m’a dit : je veux vous voir dans 3 jours.
J’ai écrit au juge : je serais tellement désolé, so sorry, de devoir faire casser votre jugement par le Conseil d’État parce que vous n’avez pas respecté la règle.
Et j’ai mystérieurement obtenu un renvoi d’audience !






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