Ce 20 juin 2024, j’ai apporté mes demandes d’information en vue du conseil municipal du 27 juin 2024.
Oui, parce que comme les Armand STEIGER, Nasser DEMIATI et François HEEDER sont incapables de rédiger un compte-rendu, je suis obligé, pour faire la preuve de mes demandes orales en commission municipale, de les poser par écrit puis de leur apporter.
Ces gens sont directeurs, mais ils ne dirigent rien, sinon ils sauraient faire un compte-rendu.
C’est d’ailleurs à se demander comment ils sont devenus directeurs.
Enfin, non, en fait, je ne me le demande pas…
Et là, j’entends la directrice des affaires juridiques dire bien fort : « et c’est parti ! », avec un ton dans la voix, qui n’est pas tout à fait celui de : « chouette, je vais me rendre utile à M. VAGNEUX ! »
Deux fois.
Comme cela, si ce n’était déjà pas drôle la première fois, cela pourrait-il peut-être le devenir la deuxième ?
Il y a plusieurs sujets derrière ces trois mots.
Tout d’abord, l’absence de neutralité.
Guère étonnante d’une nana qui divulgue ses mails professionnels.
Or, si moi, je peux être un connard ; tel n’est pas le cas du service public.
C’est même paradoxal parce qu’ils ont foutu cela dans leur règlement intérieur des personnels.
Et que c’est moi qui ais fait un recours pour qu’ils aient le droit de bitcher sur moi en dehors du service, ce qu’ils se sont eux-mêmes interdits de faire, même s’ils le font toujours quand même, parce que plus TEILLET fait de règlements, et moins ils sont appliqués… ¯\_(ツ)_/¯
Ensuite, la mentalité transpirant de cette assertion.
Ah merde, je pensais avoir fait fonction publique pour les vacances.
Et il va falloir bosser un peu pour répondre à M. VAGNEUX.
Parce que les projets de délibération n’étaient pas tout à fait complets.
Parce que j’avais pas bossé en amont.
Et en plus, il va falloir bosser vite.
Parce que comme je ne laisse que très peu de jours entre la commission et la séance…
Enfin et surtout, je trouve problématique, dans une optique d’effacité administrative, que l’administration soit obligée d’attendre la formalisation écrite de mes demandes, qu’elle est pourtant censée avoir notée plusieurs jours avant.
Nous avons eu des commissions lundi, mardi et mercredi.
L’administration VAGNEUX commencera à travailler, sur les demandes du lundi, non pas lundi soir à la fin de la commission, parce que je ne suis pas tout à fait un tortionnaire, mais mardi matin.
Blague à part, certains seraient ravis de travailler en heures supplémentaires pour l’argent ; étant cependant rappelé que les catégories A ne le peuvent pas.
Et on n’attendra pas le jeudi, pour faire semblant de découvrir ce qui est connu depuis le lundi.
En fait, il y a deux problèmes en un.
Que l’administration de TEILLET ne soit pas coordonnée, et que mes demandes de lundi n’aient pas été transmises au juridique dès mardi, et qu’il faille donc attendre jeudi pour bosser.
Et puis que finalement, les commissions municipales, on s’en branle, parce que si VAGNEUX vient pas après les commissions pour redire ses demandes, on ne va surtout pas travailler.
Vivement le grand remplacement de l’administration TEILLET.
Je vais te réémigrer dans d’autres collectivités tous les directeurs et autres chefs de service, dont je constate les carences.
En dehors du fait, que pour éviter de devoir travailler dans l’urgence, je veillerai à ce qu’il n’y ait pas seulement dix jours entre la première commission et la séance ; et puis, je n’enverrai pas une veille de fin de semaine les dossiers, et je laisserai un peu plus que cinq jours pour pouvoir les travailler…
C’est juste la différence entre les gens qui ont un gros sexe et les gens qui ont un petit sexe mais le besoin de dire qu’ils ont un très gros sexe.
Moi, je connais que mon sexe est énorme, mais je n’ai pas besoin de m’en vanter, puisqu’il demeurera de toute façon plus gros que celui des autres, et que ce n’est pas de le dire, qui fera que le leur grandira plus.
Au contraire, cela ne peut que les énerver et leur donner envie de m’émasculer.
Nonobstant que ma réputation a franchi l’Orge de quelqu’un qui pose régulièrement son matériel génital sur la table, pour paraphraser l’expression.
Au fait, ne viens-je pas d’écrire que je n’avais pas besoin de me vanter de la taille de mon sexe ?
Je ne suis plus à une contradiction près.
Sur ce, c’est vraiment parti !
Même si ça aurait dû l’être depuis mardi dernier…
Mais comme le dit l’expression : « mieux vaut tard que jamais. »

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