Bon, alors ça va que la directrice des affaires juridiques de la Commune, cette chère Sandra ALVES, avait tout bien relu du règlement intérieur, avec toutes les jurisprudences, et toutes les réponses au Journal officiel, parce que qu’est-ce que cela aurait été si elle n’avait rien branlé, pour changer !

Petite déception néanmoins car je demandais l’annulation de deux autres types d’articles, mais le juge administratif a suivi un raisonnement inversé pour justifier de ne pas faire droit à ma demande…

Ainsi donc, Alexis TEILLET n’est pas fasciste, mais quand même, qu’est-ce que le Tribunal administratif n’a pas écrit ?

1°) Qu’il méconnait le principe d’égalité entre les élus !!!

2°) Qu’il porte atteinte de manière disproportionnée à la liberté d’expression des élus municipaux !!!

Bref, Alexis, tu diras ce que tu veux, mais tu es un « fasciste municipal », et la Justice t’a rappelé à l’ordre, en censurant plusieurs articles de ton règlement intérieur qui était bien illégal, ainsi que je le dénonçais depuis le départ, dans l’indifférence générale des autres élus, et face à l’incompétence crasse d’un service juridique qui ne comprend donc et ne partage pas grand chose aux grands principes de notre République.

Tu m’étonnes qu’il fasse autant de conneries, vu qu’il ne possède déjà pas les bases !

Ils préfèrent servir des hommes, plutôt que le droit et la justice.

Pour l’argent ? Pour une majoration par le complément indemnitaire annuel ? Mais alors, ce sont des putes (dans la mentalité) ?

Toujours est-il qu’ils sont parfaitement indignes de mon respect.

Vivement mon élection qu’on les grand-remplace tous par des serviteurs du peuple !

Des mecs et des nanas qui d’une part, seront capables de se rendre compte que et quand les grandes valeurs démocratiques ne sont pas respectées.

Des mecs et des nanas, qui ne seront pas les soumis de la majorité municipale, dans le parti pris systématique contre les oppositions.

Honte à tous ceux, élus et agents, qui ont cautionné la discrimination et les atteintes aux libertés fondamentales !

Vous êtes des minables, et je vous l’écris en face !