N’oubliez pas qu’à la fin des films, ce sont toujours les gentils qui gagnent !
Et aussi surprenant que cela puisse paraître ; à la limite que même moi, j’en serai presque le premier étonné, je suis le gentil de cette histoire.
Et Sandra ALVES, la méchante, car elle a rompu, par une altération fraduleuse de la vérité, le lien de confiance que les représentants du peuple sont légitimement en droit d’attendre d’une personne chargée d’une mission de service public dans le cadre de l’exercice démocratique, et bla bla bla, mon cul, ma chemise…
Sans cela, je ne connais toujours pas précisément où nous en sommes dans le script de ce très mauvais navet qu’est le mandat municipal de TEILLET. Mis à part qu’on s’en rapproche de la fin !
Mais comme c’est en plus un film français, il y a toujours quelques longueurs psychologisantes inutiles, remplies de dialogues confondants de mièvrerie…
Sinon, dans ma plainte, déposée ce mardi 5 mars 2024, relative au faux qui serait constitué par une procuration du 13 janvier 2022 de l’élue Angélique DE OLIVEIRA PINTO, en fait rédigée par Sandra ALVES, directrice des affaires juridiques.
J’ai rappelé la définition du faux en écriture publique, forgée par la Cour de cassation.
J’ai démontré qu’une procuration est une écriture publique.
J’ai expliqué que Sandra ALVES est une chargée d’une mission de service public.
J’ai exprimé mes doutes quant à la ressemblance de la calligraphe de la procuration d’Angélique DE OLIVEIRA PINTO du 13 janvier 2022 et les deux amendements illégalement rédigés par Sandra ALVES pour Alexis TEILLET le 15 décembre 2023.
(Et je n’ai même pas fait de remarque misogyne pour dire que les femmes écrivent toutes pareilles aves des boucles. #tropgirly)
Pour étayer l’élément intentionnel, qui en matière de faux, se traduit par la conscience d’écrire quelque chose qui n’est pas vrai, j’ai valorisé Mme ALVES en vantant la grande qualité de son parcours universitaire, la richesse et la diversité de ses expériences professionnelles, et surtout sa pratique juridique quotidienne hautement qualifiée au sein des administrations.
Qu’est-ce qu’il ne faut pas écrire pour saucer les gens !
Et bien que je pense qu’elle ne soit pas « la chips la plus croustillante du paquet », je me plais néanmoins à penser qu’elle n’ignore pas qu’elle n’est pas Angélique DE OLIVEIRA PINTO. Enfin, j’espère ! ¯\_(ツ)_/¯
À moins d’un dédoublement de la personnalité, mais alors pourquoi Angélique DE OLIVEIRA PINTO ?
Donc qu’elle avait nécessairement conscience de faire un faux en écrivant « Je soussignée ».
Je suppute encore que je pense qu’ils en ont été réduits à créer ce faux pouvoir car je leur ai demandé à pouvoir le consulter en cours de séance, après le départ précipité de Angélique DE OLIVEIRA PINTO.
Je suggère encore qu’il a pu y avoir une usurpation d’identité, mais ce n’est là qu’un délit. Pardon !
Sortez le pop corn ! J’ai maintenant hâte de d’assister au spectacle et d’observer comment ils vont tous se défausser les uns sur les autres.
En effet, la seule ligne de défense possible pour ALVES pour s’exonérer de ses responsabilités ; en tout cas moi ce que je ferai à sa place, ce sera de dire qu’elle aura été forcée.
Genre comme si on lui avait mis une lame de rasoir sous la gorge ; ah non, ça c’est moi pour les vivisections…
Disons que je ne comprendrais sinon pas très bien pourquoi elle l’aurait fait spontanément… ¯\_(ツ)_/¯
Sauf que TEILLET va évidemment discuter l’inverse, pour ne pas tomber avec elle…
Au droit de la jurisprudence, Angélique DE OLIVEIRA PINTO sera de toute façon complice, sauf si elle établit qu’elle n’avait expressément rien demandé.
Mais là encore, comme elle a parlé devant le Conseil d’État… ¯\_(ツ)_/¯
Maintenant, rendez-vous dans un an environ pour l’ouverture d’une information judiciaire.
Je commencerai par demander une audition pour voir si elle parle seule.
Et puis sinon, je requerrai une analyse graphologique pour comparer les deux textes, dont nous avons la preuve formelle de l’identité de la rédactrice du deuxième.




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