Donc il va y avoir un courrier aux riverains de l’armée Leclerc. Puis Alexis TEILLET la pleureuse, qui va nous refaire une crise, parce que je serais un menteur, comme avec les riverains du 16 Rossays, alors même que le bureau d’études a parlé de ce projet (16 Rossays) lors de l’atelier du 9 décembre 2022…
Bon, ça va, on a compris que TEILLET couvrait VERMILLET dans sa « micro-densification » de l’OAP de l’Armée-Leclerc. C’est pas comme si c’était évident…
VERMILLET, dont je ne sais pas comment elle va pouvoir achever son Plan local d’urbanisme, maintenant qu’elle n’a plus son adjoint à l’urbanisme…
Il fut une époque où Savigny rayonnait, et donnait son avis légitime de personne publique associée sur les projets des communes voisines.
Mais c’était avant le mandat d’Alexis TEILLET ; qui n’a pas plus voulu s’intéresser au Plan local d’urbanisme de Morsang-sur-Orge, probablement pour ne pas gêner DURANTON.
Maintenant, sous Alexis TEILLET, on ne fait plus rien ; on s’en fout… On se fout de tout.
Il faut bien reconnaître qu’il est difficile de connaître tous les détails d’une commune, surtout quand on n’y habite pas…
J’attends toujours la plainte en diffamation relativement à cette information.
Je me suis encore ramassé en référé liberté.
Donc cette fois, il va y avoir recours en excès de pouvoir.
Mais quel maire que celui qui refuse que sa Commune donne un avis, alors que 1 000 logements supplémentaires doivent être construits à 500 mètres de sa ville ? Une honte !
Je vais sinon vous raconter mon audience de ce 13 décembre 2022 au Tribunal judiciaire.
Le Parisien de l’Essonne était représenté par Monsieur le bâtonnier d’Évry-Courcouronnes.
Ils mettent du beau monde face à moi !
L’affaire est renvoyée et elle ne sera pas jugée avant plusieurs mois.
Un médecin juvisien était représentée par une avocate qui ne savait pas qui j’étais.
Elle discute avec une consœur, et lui dit qu’elle va avoir affaire à un « fou » (poke DUROVRAY).
Ce qui est vrai, mais c’est blessant pour ceux qui ne le savent pas encore.
Et moi, je suis derrière, et j’ai ma carte d’identité dans la main.
Et je vois le moment où elle va chercher mon nom sur la carte d’identité, et je lis la solitude venir progressivement habiter son visage, quand elle réalise…





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