La loi SRU (Solidarité et renouvellement urbain) fait régulièrement polémique à cause du seuil inconsidéré de 25 % de logements sociaux qu’il devra y avoir dans chaque ville francilienne d’ici 2025. En réalité, il s’agit d’une mesure idéologique, ayant pour but de loger un électorat gauchisant et surtout immigré, qui ne repose sur aucun calcul concret (ou alors que j’attends qu’on me communique depuis des mois).
Je lis sur Wikipédia qu’il y avait 11 852 851 habitants en Île-de-France en 2011, selon des chiffres de l’INSEE. Le problème est qu’en y regardant de plus près, on s’aperçoit que la dernière donnée réelle date de 2006. Donc que le chiffre de 2011 n’est qu’une estimation.
Naturellement, ce résultat ne prend pas en compte les personnes sans-papiers. Selon plusieurs sources, notamment les écrits de Mgr Michel Dubost et les statistiques du Secours catholique, il faudrait rajouter à ce nombre plusieurs dizaines de milliers de personnes.
D’après les chiffres de la Région île-de-France, que l’on retrouve sur les sites des organismes régionaux, il y aurait 12 millions de Franciliens en 2014 et une prévision à 13 millions en 2030.
Avouons déjà que voir la population augmenter de 150 000 âmes en trois ans (de 2011 à 2014) est effrayant. Mais pas tant que cela au regard des plus de 170 000 personnes que M. VALLS a naturalisés en 2013. (Et le même chiffre chaque année sous la droite aussi)
La loi SRU, revue par Cécile Duflot alors ministre du Logement, doit permettre la construction de 1 million de logements sociaux supplémentaires d’ici 2025 (sans compter l’augmentation du parc privatif).
Selon plusieurs organismes immobiliers, il y aurait 4 à 6 % des bâtiments franciliens (logements compris dans la statistique) qui seraient vacants ou inoccupés. Un chiffre, que la région dans sa grande opacité, ne dit jamais (ni le nombre de personnes à la rue).
Donc Madame Duflot a prévu la construction de 1 million de logement pour 1 million de personne. Tout en pensant qu’il n’y en aura jamais plus de 13 millions dans la Région (« à cause du vieillissement de la population et de l’adaptation des populations immigrées à notre taux de fécondité.
Alors même si on divorce beaucoup en Île-de-France et qu’un couple a en moyenne 2 enfants, seulement 500 000 logements seraient nécessaires. À moins que l’on se mette aussi à loger les personnes clandestines gratuitement ?
Vu le taux de naissance sur la Région, c’est surtout grâce à l’immigration que ce quota de 13 millions pourrait être atteint. Mais comment peut-on dire que cela stopperait brusquement en 2030 ? Cela devrait logiquement encore et toujours augmenter.
Cherchez l’erreur ; ce sont vos impôts qui financent la construction de ces logements. Auquel vous n’aurez peut-être jamais accès. je connais personnellement peu de personnes de ma catégorie socio-professionnelle qui y ont accès, à revenus faibles.
Mon idée : la Gauche PS-EELV mise sur une arrivée massive de personnes immigrées qui devraient voter pour elles lorsque les étrangers auront le droit de vote. Sauf que les classes populaires et les personnes immigrées sont parties au FN en cette année 2014.
Même les 89 % de Français de confession musulmane déclarant avoir voté Hollande en 2012 se sont détournés de lui. Puisque dans la plupart des villes de banlieue, le PS a perdu jusqu’à 40 % entre 2012 et 2014.
Certains (une minorité) choisissant même l’hijra (l’Hégire) pour aller faire le djihad en Syrie, fuyant un pays dévoyé par le mariage pour tous, l’idéologie du genre et l’islamophobie soigneusement entretenue par les partis politiques (extrêmes notamment).
Laisser un commentaire